8 décembre 2013

Danse-moi vers la fin de l’amour

Photographe : Chantal Bou-Hanna

Il faut beaucoup aimer et respecter un auteur pour le traduire et l'interpréter sans le trahir. Graeme Allwright a plus que bien réussi avec Leonard Cohen (ici, Dance Me To The End of Love). La voix douce et le charisme de Graeme me touchent profondément.
 

Graeme Allwright en concert à le-Quesnoy avec ses musiciens Malgache.

Site officiel : http://mga.asso.fr/  

Extrait biographique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Graeme_Allwright  
 
(…) Ses textes où l'émotion, la dénonciation moqueuse du conformisme ou des injustices et les appels à la liberté se conjuguent à des mélodies «country» ou «blues», remportent l’adhésion d'un public de tout âge, par-delà les modes. Mais, «dépassé» par son succès, craignant la pression du «show-biz», de perdre de sa liberté, il préfère multiplier les voyages à l’étranger, au cours desquels il enregistre aussi des albums. En 1971, il marche seul pendant un mois dans l'Himalaya, il y découvre un village isolé et s'y sent beaucoup plus utile que sur une scène… Il participe en Inde dans les années 70 à l'aventure de la cité utopique d'Auroville, initiée par La Mère, compagne de Sri Aurobindo, en travaillant au reboisement de cette zone alors désertifiée; il y refera plusieurs séjours. Un peu plus tard, il découvre La Réunion, où il vit pendant un an et demi. L’album Questions lui est en grande partie consacré. Il y fait la rencontre d'excellents artistes malgaches (dont Erick Manana et Dina Rakotomanga) qui dès lors l’accompagneront très souvent lors de ses tournées en France.
(…) Dans les années 2000, il ajoute le jazz, passion de son adolescence, à son répertoire (album Tant de joies avec le Glenn Ferris Quartet). En 2005, il replonge à sa source en effectuant une tournée en Nouvelle-Zélande, son pays d'origine où il était totalement inconnu. Il offre toujours régulièrement «dans les p’tits patelins» de chaleureux concerts, au cours desquels, en toute simplicité et dans une intense empathie, il communique sa quête «d'une étoile qu'il n'a jamais vraiment nommée».
       Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence.

Vous aimerez peut-être «Suzanne» :
http://situationplanetaire.blogspot.ca/2013/04/limmortelle-suzanne.html

Aucun commentaire:

Publier un commentaire