La citrouille ne se changera pas en carrosse doré le 31 octobre à minuit; c’est juste le retour de l’heure normale. Donc, je prépare mon hibernation avec soin.
En principe, si nous suivions les pulsions naturelles de la physiologie de l’hibernation, nous mangerions beaucoup en automne, puis nous nous endormirions dans notre trou jusqu’au printemps. Malheureusement infaisable…
«Lorsque les jours raccourcissent avec l’arrivée de l’automne puis de l’hiver, près d’une personne sur trois ressent un changement dans son énergie et ses impulsions. Ces changements semblent inspirés de la physiologie de l’hibernation : des nuits longues, un réveil difficile, une envie constante de pain, pommes de terre, pâtes, chocolat, bonbons, une baisse d’énergie et de la libido, une perte de motivation pour les projets nouveaux, des pensées ralenties… Entre les mois de novembre et mars, pour près de 10% des gens qui vivent au-dessus du 40e parallèle (Madrid en Europe, New York en Amérique), ces symptômes prennent la proportion d’une véritable dépression. Le plus frappant, c’est que ces symptômes sont bien davantage physiques que psychologiques.»
~ David Servan-Schreiber (Guérir le stress...)
Article intégral : http://artdanstout.blogspot.ca/2014/01/physiologie-de-lhibernation.html
Et puis, certains ont tendance à boire de l’alcool pour se réchauffer. Alors :
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