1 avril 2013

Adieu inquiétude




Parfois dans la vie je ne sais pas,
Si je devrais rester ou si je devrais partir,
Car pour que les feux de l'espoir brûlent à l'intérieur de moi,
Je dois tendre les mains et laisser l'Amour me guider.

Nous vivons une période où il faut être très vigilant et prêt à agir rapidement... c’est le temps d’avancer! Les choses peuvent être particulièrement instables, volatiles. Ces situations nous poussent de plus en plus à nous fier à notre instinct et à notre connexion à la Source. Un conseil : faites-vous confiance et agissez avec amour et pour l'amour. Laissez tomber le reste et regardez la magie se produire. C'est lorsque vous êtes rigide que vous vous faites pousser. Alors, décontractez-vous et acceptez d’aller de l’avant, ainsi vous serez moins choqué ou surpris si quelqu'un ou une situation vous bouscule!

~ Tom Lescher

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Maîtriser peurs et anxiété

En 1934, James Gordon Gilkey a publié You Can Master Life, un compendium de suggestions pour maîtriser l’anxiété. Du bon vintage

Après avoir étudié les peurs chroniques, Gilkey les a classées en cinq catégories :
1. Les inquiétudes à propos des désastres qui par la suite ne se sont pas produits** : environ 40% de mes anxiétés.
2. Les inquiétudes à propos de décisions prises dans le passé au sujet desquelles je ne peux rien faire maintenant, bien sûr : environ 30% de mes anxiétés.
3. Les inquiétudes à propos de possibles maladies et dépressions nerveuses qui ne se sont pas manifestées : environ 12% de mes inquiétudes.
4. Les inquiétudes à propos de mes enfants et de mes amis – inquiétudes provenant de mon oubli que ces personnes avaient leur propre bon sens : environ 10% de mes inquiétudes.
5. Les inquiétudes vraiment fondées : possiblement 8% du total.

Et Gilkey pousuit : Que doit faire cet homme s’il veut venir à bout de son anxiété? Il doit limiter ses sources d’inquiétude aux quelques périls du cinquième groupe. Ce simple choix éliminera 92% de ses peurs. Ou, autrement dit, il ne souffrira pas d’angoisse durant 92% de son temps.
       Nous devrions cesser de tenter d’expliquer nos difficultés. Notre première impulsion est certes de les expliquer, de comprendre ce qui est arrivé et pourquoi. Parfois cet effort est bénéfique, parfois il est dommageable. Trop d’introspection peut mener à l’apitoiement, au vain regret, et créer un dangereux état de confusion et de désespoir. Plusieurs situations graves de la vie ne peuvent pas être expliquées. Elles ne peuvent qu’être supportées, maîtrisées, et graduellement oubliées. Lorsque nous réalisons cette vérité, que nous décidons d’investir toutes nos énergies à mieux gérer la vie au lieu d’expliquer la vie, nous faisons un premier pas, et c’est le plus évident, vers un accomplissement significatif.  
       C’est seulement lorsque nous cédons devant l’inexorable, seulement lorsque nous acceptons les situations que nous ne pouvons pas changer, que nous pouvons nous libérer des fatales tensions intérieures, et acquérir la tranquillité intérieure où nous pouvons, du moins partiellement, rendre nos limitations supportables.

** D’après moi, il avait lu Mark Twain :-)

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Pensées du jour :

On ne peut pas être sans crainte quand on inspire la crainte.
~ Épicure

Qui craint de souffrir, il souffre déjà de ce qu’il craint.
~ Montaigne

La crainte engendre l’objet redouté.
~ Jakob Wassermann

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