Parfois dans
la vie je ne sais pas,
Si je devrais
rester ou si je devrais partir,
Car pour
que les feux de l'espoir brûlent à l'intérieur de moi,
Je dois tendre
les mains et laisser l'Amour me guider.
Nous vivons une période où il faut être très vigilant et
prêt à agir rapidement... c’est le temps d’avancer! Les choses peuvent être particulièrement
instables, volatiles. Ces situations nous poussent de plus en plus à nous fier
à notre instinct et à notre connexion à la Source. Un conseil : faites-vous
confiance et agissez avec amour et pour l'amour. Laissez tomber le reste et
regardez la magie se produire. C'est lorsque vous êtes rigide que vous vous
faites pousser. Alors, décontractez-vous et acceptez d’aller de l’avant, ainsi
vous serez moins choqué ou surpris si quelqu'un ou une situation vous bouscule!
~ Tom
Lescher
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Maîtriser peurs
et anxiété
En 1934, James
Gordon Gilkey a publié You Can Master
Life, un compendium de suggestions pour maîtriser l’anxiété. Du bon vintage…
Après avoir étudié les peurs chroniques, Gilkey les
a classées en cinq catégories :
1. Les inquiétudes à propos des désastres qui par
la suite ne se sont pas produits** : environ 40% de mes anxiétés.
2. Les inquiétudes à propos de décisions prises
dans le passé au sujet desquelles je ne peux rien faire maintenant, bien sûr :
environ 30% de mes anxiétés.
3. Les inquiétudes à propos de possibles maladies et
dépressions nerveuses qui ne se sont pas manifestées : environ 12% de mes
inquiétudes.
4. Les inquiétudes à propos de mes enfants et de
mes amis – inquiétudes provenant de mon oubli que ces personnes avaient leur
propre bon sens : environ 10% de mes inquiétudes.
5. Les inquiétudes vraiment fondées : possiblement
8% du total.
Et Gilkey pousuit : Que doit faire cet homme
s’il veut venir à bout de son anxiété? Il doit limiter ses sources d’inquiétude
aux quelques périls du cinquième groupe. Ce simple choix éliminera 92% de ses
peurs. Ou, autrement dit, il ne souffrira pas d’angoisse durant 92% de son
temps.
Nous
devrions cesser de tenter d’expliquer nos difficultés. Notre première impulsion
est certes de les expliquer, de comprendre ce qui est arrivé et pourquoi.
Parfois cet effort est bénéfique, parfois il est dommageable. Trop d’introspection
peut mener à l’apitoiement, au vain regret, et créer un dangereux état de
confusion et de désespoir. Plusieurs situations graves de la vie ne peuvent pas
être expliquées. Elles ne peuvent qu’être supportées, maîtrisées, et graduellement
oubliées. Lorsque nous réalisons cette vérité, que nous décidons d’investir
toutes nos énergies à mieux gérer la vie au lieu d’expliquer la vie, nous
faisons un premier pas, et c’est le plus évident, vers un accomplissement significatif.
C’est
seulement lorsque nous cédons devant l’inexorable, seulement lorsque nous
acceptons les situations que nous ne pouvons pas changer, que nous pouvons nous
libérer des fatales tensions intérieures, et acquérir la tranquillité
intérieure où nous pouvons, du moins partiellement, rendre nos limitations supportables.
** D’après moi, il avait lu Mark Twain :-)
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Pensées du
jour :
On ne peut pas être sans crainte quand on inspire
la crainte.
~ Épicure
Qui craint de souffrir, il souffre déjà de ce qu’il
craint.
~ Montaigne
La crainte engendre l’objet redouté.
~ Jakob
Wassermann
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